
Extrait d’une œuvre de Philippe Favier (tout petit détail) avec les mains du photographe en arrière plan, j’en demande pardon à l’artiste. Il nous offre une belle parabole.
Musée de Valence « ALLOVER – 25 09 2020 – prolongée jusqu’au 31 08 2021, pour cause de confinement et autres empêchements dus aux mesures anti covid.
Philippe Favier sur le Net
Nous jouons tous à la marelle avec la mort, la notre surtout. Plus nous avançons dans la vie plus elle se rapproche. Mais nous ne voulons pas la voir. Pire, on nous empêche de vraiment la faire nôtre, faire qu’elle ressemble à ce qu’a été notre vie, telle que nous l’avons voulue. Non, la mort nous devons la subir, ce sont les autres qui s’en chargent.
Si nous en avons les moyens nous pouvons aller la chercher à l’étranger, dans des pays où on ne la joue pas pour tenter de l’oublier.
Ah oui, pardon, j’oubliais, nous pouvons choisir notre « après », le choix du cercueil, du mode d’inhumation, tout ce qui nous sera totalement indifférent alors. Mais nos derniers moments, non !