Ils deviennent rares dans les jardins et sur les étals des fleuristes. J’étais donc contente d’en voir dimanche dans un jardin d’Ardèche, surveillés par un épouvantail en boites de conserves.

Pour moi, ils sont pour toujours reliés au souvenir de ma grand mère qui en cultivait dans son jardin, en haies aussi au pied des légumes et pour rythmer les allées. J’aimais bien aussi les bouquets de glaïeuls, dont les fleurs s’ouvraient au fil des jours. Ils sont passés de mode, ainsi va le cours de nos goûts et envies.